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Little fresh water available

There is little fresh rainwater

Land is in real demand in Tuvalu, especially on Funafuti. In 10 years, the population has increased so much that there is not enough bush material left to build traditional houses; there is little fresh rainwater (groundwater is not potable); and the soil is tainted by the salt-laden winds, limiting agricultural development. In addition, much of Funafuti’s land was excavated by the Americans to build an airstrip during World War II. The huge holes Tuvaluans call “borrow pits” have never been refilled. If they were, as everyone dreams they will be someday, there would be more space for planting.

Land ownership is complicated

In 1961, Vitoli came back home to care for his aging parents. He would have lost his right to the land and to the title of matai (as the oldest son) if he hadn’t returned. “Without land and today without education, you just can’t live,” he says. As the matai, Vitoli is responsible for the distribution of the 10 plots of land scattered throughout the country to all his family members. The land has been passed down through generations of individuals and family groups, and ownership is very complicated. Land establishes a family’s status. Village gossip has it that Vitoli’s isolation is due to a family fight over land distribution. Vitoli doesn’t talk about it.

Only a few hours to speak

Besides two planes a week, to and from the capital, travel between Tuvalu’s nine islands is limited to one boat, the Nivaga. It makes a run of four of the islands north of the capital, stopping a few hours at each, then comes back to Funafuti for a southern run that sometimes brings it down to Fiji. If one goes to an outer island to stay, it could take months to return. When government officials visit the outer islands, the few hours the Nivaga stop is all the time they have to speak to their people.

A day
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It’s an adventure, it’s awakening, it’s human

2022-12-06T14:14:55-05:00

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Peu d’eau fraîche accessible

L’eau de pluie de suffit plus

Les habitants de Funafuti, l’ile capitale de Tuvalu, vivent entassés à l’autre bout, dans le seul bourg du pays. La pénurie de terres s’aggrave, surtout à Funafuti. En dix ans, la population a tellement augmente que les matériaux manquent pour construire les maisons traditionnelles et que l’eau de pluie ne suffit plus aux besoins: les eaux souterraines, trop salées, ne sont pas potables. Trop salée, la terre l’est aussi, même en surface, à cause des vents marins. Rien, ou presque, n’y pousse. De plus, les Américains ont excavé de grandes quantités de terre pendant la Seconde Guerre mondiale pour construire une piste d’atterrissage, laissant d’énormes trous , appelés « trous de l’emprunt», qui n’ont jamais été rebouches. S’ils l’étaient -tous en rêvent­ cela redonnerait de l’espace.

La propriété est chose compliquée

En 1961, Vitoli revint a Tuvalu pour s’occuper de ses parents âges, sinon il aurait perdu ses droits d’ainesse sur les terres et sur le titre de matai” (chef de clan). «Sans terre et sans éducation, aujourd’hui, on ne peut pas vivre », dit-il.

En tant que matai – fils ainé – Vitoli est responsable de la répartition entre tous les membres de sa famille des dix petits lopins de terre, disperses dans tout le pays. Les terres ont été transmises depuis des générations et il est très complique de savoir exactement qui possède quoi. La terre établit le statut d’une famille, le rôle de Vitoli est donc très important. Les ragots du village rapportent que l’isolement de Vitoli est dû à une querelle de famille au sujet de sa distribution des terres. Vitoli n’aborde pas le sujet.

Only a few hours to speak

À part deux liaisons aériennes hebdomadaires avec la capitale, les transports entre les neuf iles de Tuvalu ne sont assurés que par un seul bateau, le Nivea. Il fait la navette entre les quatre îles du nord, revient à Funafuti, et repart pour les îles du Sud, poussant parfois jusqu’aux Fidji. Entre deux navettes, selon la saison et les cyclones, il faut parfois attendre plusieurs mois ! Les courtes heures aux ports est le seul moment qu’ont les officiels du gouvernement pour parler aux citoyens.  

Un jour…
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C’est une aventure, c’est un éveil est c’est humain

2018-03-15T16:40:00-04:00

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